Pionnier 5/6
Module 5:
Chaque artiste a un maître. Pierre Boeswillwald en a eu plusieurs.
Lorsqu’il prépara son entrée aux arts décoratifs en 1952, il dû suivre les leçons du peintre surréaliste André Masson. Plus tard, à la Maison des Lettres de la ville de Paris, c’est Jean Tardieu qui sur intéresser le jeune Pierre par ses visions avant-gardistes de l’art sonore et radiophonique. Lors de ses nombreux échanges avec Julien Sanchez-Galvan, lorsque ce dernier lui demanda quelle œuvre musicale ou sonore le stupéfia le plus, après un court instant de réflexion, il s’exclama : » Hétérozygote de Luc Ferrari ! », précisant : » je fus transcendé par la beauté de l’agencement des différents matériaux sonores et de la lumière qui jaillissait des hauts parleurs. Ce fût Éblouissant ! »