Assistants vocaux : Google défie Amazon, Sonos et Apple
05 octobre 2017 par Adeline Beving

Assistants vocaux : Google défie Amazon, Sonos et Apple

Chaque semaine, une sélection d’articles de la presse française et étrangère pour éclairer l’avenir numérique de la radio.

Assistants vocaux : Google défie Amazon, Sonos et Apple

Google vient d’annoncer la commercialisation de deux nouveaux modèles d’assistants vocaux. La Google Home Mini, de la taille d’un galet, permet de concurrencer l’Echo Dot d’Amazon grâce à son prix très abordable (49$). A l’opposé, Google Home Max propose une expérience sonore haute définition, semblable aux offres de Sonos et Apple. >> A lire sur 20 minutes

Le Financial Times passe à l’audio

Le Financial Times utilise l’outil Polly d’Amazon pour transformer automatiquement ses articles de presse en contenus audio. L’objectif : rendre 90% de ses contenus disponibles sur les objets vocaux connectés (type Amazon Echo ou Google Home) d’ici la fin de l’année. Pourtant quelques ajustements techniques restent à régler : lors de premiers essais, le mot Trump était par exemple devenu un verbe. Faut pas se trumper. >> A lire en anglais dans Digiday

Snapchat Discover double son audience en France

Il y a un an, le réseau social Snapchat ouvrait aux médias la possibilité de diffuser de l’information auprès de son public. Aujourd’hui, ce sont 12 médias partenaires (dont Le Monde, Le Figaro ou L’Equipe) qui réunissent 10 millions d’utilisateurs actifs chaque mois, dont une majorité de 13-24 ans. Un succès qui suscite l’intérêt des chaînes de TV, mais ne parvient pas à rivaliser avec l’audience des géants Facebook et Instagram. >> A lire dans Comment ça marche

Le streaming, meilleur ennemi des radios musicales

Les playlists occupent désormais une place considérable dans les habitudes d’écoute. Spotify, leader sur le marché du streaming musical, en dénombre 2 milliards, qui représentent 50% des écoutes totales. Si l’industrie musicale a su se saisir de cette opportunité pour la promotion des artistes, les radios musicales y voient plutôt une concurrence déloyale. La piste d’une complémentarité commence tout juste à se dessiner, comme le montre l’exemple de FIP et Deezer. >> A lire sur Les Echos