Google investit dans le podcast personnalisé
Chaque semaine, une sélection d’articles de la presse française et étrangère pour éclairer l’avenir numérique de la radio.
Google investit dans le podcast personnalisé
60dB, une appli proposant des playlists de podcasts courts et personnalisés, vient d’annoncer son rachat par Google. Depuis avril 2016, Google Play Music propose des podcasts et son premier contenu original, City Soundtracks, a été lancé en mars dernier. Si le détail (et le prix) de cette future collaboration n’ont pas encore été dévoilés, ce rachat trahit l’ambition de concurrencer la plateforme d’Apple, qui domine actuellement le marché. >> A lire en anglais sur TechCrunch
Repenser l’audio pour les assistants vocaux
Les assistants vocaux représentent une opportunité pour la radio, qui peut y diffuser ses programmes en live ou à la demande. Les titres de franceinfo sont par exemple disponibles sur Google Home. Les producteurs de podcasts indépendants comme Binge et Nouvelles écoutes s’engouffrent aussi dans la brèche en développant des contenus audio délinéarisés, ultra-ciblés et formatés pour ce type d’appareil. Reste à définir quel type de publicités peut s’y associer pour rendre le système viable sans le polluer. >> A lire sur Le Monde
Intelligence artificielle… et superficielle ?
Malgré l’intelligence (artificielle) dont ils disposent, les assistants vocaux seraient majoritairement utilisés pour tâches extrêmement simples comme demander la météo, écouter de la musique ou déclencher un réveil. Pour autant, ils connaissent un succès record aux Etats-Unis, où 17% des foyers en sont déjà équipés en à peine 2 ans. >> A lire en anglais sur Quartz
Etre ou ne pas être journaliste sur Twitter
Dans une charte destinée à ses équipes éditoriales, le New York Times défend une approche très “corporate” de la relation entre vie privée et vie professionnelle sur les réseaux sociaux. Ce qui est écrit sur une plateforme publique doit être considéré comme des déclarations émanant du NYT. Toute opinion personnelle est donc proscrite, ce qui invalide le statut “mes tweets n’engagent que moi”. Une approche qui vise à tout autant à éviter les “trolls” qu’à protéger l’image de marque du journal. >> A lire sur Le blog du modérateur